C’est la déclaration du président italien Carlo Azeglio Ciampi depuis sa visite dans la capitale de la Romania. En présence du président Iliescu e des journalistes, les tragédies de l’émigration clandestine ont étés exposée.
C’étais le 21 octobre 2003quand au large de la cote sicilienne la garde côtière retrouve un embarcation avec les habituels désespéré provenant des cotes Africaine ; rien d’étrange ça arrive souvent !
Les secourt arrivent : c’est le moment d’aider les clandestins a débarqués. Le spectacle est horrible; au milieu des personnes encore vivantes, bien si en mauvaise conditions se trouvent dei corps sans vie et entasser en voit de décomposition. Après avoir amener les survivant a l’hôpital, il faut enterrer les morts. Sur leur tombes des croix sans nom. Personne ne sais pourquoi ils ont entrepris un voyage aussi dangereux. Ont se demande combien étais t’ils sur le bateau : 50 ? 100 ? 200 ?
Quelqu'un raconte qu’ils dépensent de 10000 à 15000 euro pour la traverser.
15000 euro pour payer le voyage vers le paradis ou tu pourras manger tout les jours, regarder la télévision assit sur un divan confortable ; encore mieux avec une bouteille de coca cola et un sachet de pomme fritte.
Quel rêve idiot.
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Elles sont sûrement des milliers les embarquements clandestins arrivés sans problèmes a destination, mais seulement cette année plus de 30 bateaux sont naufragés avec leur charge de clandestins qui se dirigeaient vers l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Italie etc…
Mais pourquoi ne pas choisir la légalité ?
Présenter une demande pour obtenir la carte de séjour n’est pas aussi facile !
Il suffit de démontrer d’avoir des moyens économiques suffisants pour la durée du séjour, avoir une résidence, un travail, un assurance pour les maladies etc…..etc…
Pour pouvoir venir en Italie, il suffit de démontrer d’avoir beaucoup d’argent.
Mai alors pourquoi ne pas rester chez soi dans se cas ?
J’invite l’opinion publique a ne pas oublier le passer.
Il n’existe aucune frontière, ni barrière capable de bloquer le phénomène de l’émigration.
C’est un chois forcé dicter par la faim.
Marie Reine Toe.